Tous ceux qui ont des personnes âgées dans leur entourage, parfois le plus proche, quand il s’agit de leurs parents ou de leurs grands-parents, savent la crainte de la chute à domicile sans que la victime ne puisse alerter les secours dans les meilleurs délais, une intervention qui peut parfois sauver des vies.

La télé assistance s’adresse aux habitants de l’Oise âgés de plus de 65 ans, aux personnes handicapées dont le taux d’invalidité est supérieur ou égale à 80% ou aux personnes de moins de 65 ans subissant une maladie grave

C’est un moyen d’alerte accessible et fiable qui contribue à assurer une tranquillité d’esprit à son utilisateur ainsi qu’à ses proches.

« Bonjour, vous allez bien ? » Telle fut la question la plus prononcée par Monique MARTIN durant ces 6 années de mandat…juste un mot, un sourire pour s’assurer que nos résidents ne manquaient de rien, surtout durant les périodes caniculaires car l’on sait qu’avec l’âge, nos ainés sont à la fois plus fragiles et moins sensibles aux premiers signes annonciateurs de malaise…Il s’est donc agi de taper ou de sonner aux portes pour s’assurer qu’elles ne manquaient de rien et de rappeler qu’une astreinte, 24h/24, 7J/7 était là, tout près, en cas de besoin.

Quelle ne fut pas notre stupeur que de constater que rien ou trop peu n’avait été fait à notre arrivée en 2014 !!!

Le temps se passait donc de manière monotone dans l’attente d’une visite familiale…Tout cela appartient maintenant au passé grâce à la dynamique de vie que nous avons insufflée…Cette résidence résonne maintenant de rires, de jeux, de musiques et de tous ces moments de convivialité…la preuve avec :

1. Le repas à thème, une fois par mois

2. La galettes des rois, chaque année

3. Le beaujolais nouveau, offert par le maire

4. Le repas de Pâques,

5. Le goûter du dimanche,

6. Les lotos avec participation intergénérationnelle avec des enfants des écoles

7. Le Noël des enfants du CCAS et depuis 2018 avec les enfants de la maison d’accueil pour femmes victimes de violence

Il ne faut pas que vieillir…il faut « bien » vieillir. Aussi, afin de les accompagner au mieux dans leur vie, la ville a mis en place des ateliers comme l’initiation à l’informatique, la sophrologie, de la gymnastique douce…Près de 60 résidents ont pu en profiter !

Rien de tel que de faire vivre le lien au-delà des âges…Les personnes âgées ont tant à nous apprendre, et les enfants ont tant à donner…Nous avons donc établi des rencontres qui permettent aux enfants de l’école Jules Ferry et aux seniors de la résidence pour personnes âgées de se retrouver et d’échanger sur leur parcours de vie, sur leurs attentes, sur leurs espérances.

Ce n’était pas toujours simple pour nos résidents, en raison de leur âge notamment, de se rendre aux traditionnels vœux du maire à la population…L’heure peut apparaître aussi comme tardive, toutes n’ont pas un moyen de locomotion, la cérémonie peut sembler longue…La solution qui est une innovation : organiser, le lundi suivant la cérémonie de vœux à la population, au sein même de la résidence, la présentation des vœux du maire aux résidents dans un format plus souple, plus court…

La paperasserie ? La France en raffole…tant et si bien que tous les Gouvernements s’engagent à nous « simplifier » nos démarches…En attendant, rien de plus compliqué que de rédiger un courrier à la CAF, aux impôts, à Pôle Emploi ou même à sa banque ou à un employeur…La ville a donc créé un poste d’écrivain public, gratuitement mis à la disposition des usagers pour un accompagnement pour toute démarche administrative et professionnelle…il n’y a peut-être que les courriers du cœur qu’il ne rédige pas, et encore !

Les liens sont maintenant forts avec les patients de l’hôpital Georges Decroze puisque des visites, autour de moments festifs : ex galette des rois ont été créées. Il s’agit d’offrir la « vie de l’extérieur » à des personnes, souvent affaiblies par l’âge ou la maladie et leur dire que nous ne les oublions pas.

Tous égaux face aux coûts des mutuelles ? Pas si sûr ! Et les tarifs parfois prohibitifs empêchent certains de nos administrés de souscrire un contrat. La sécurité sociale peut mal vous rembourser et la part complémentaire reste à votre charge.

Grâce à la convention que nous avons signée avec Actiom dans le cadre de « Ma commune, ma santé » vous bénéficierez d’une mutuelle aux meilleurs prix.

Cette offre est tout simplement la réponse aux besoins de mutuelle santé de nos administrés non couverts ou en recherche d’amélioration de leur pouvoir d’achat.

Notre ville fut la première de l’Oise à offrir, à ses habitants, cette opportunité.

Hélas, nous n’avons pas tous les mêmes chances et ces inégalités apparaissent parfois dès le plus jeune âge.

Pour corriger ces inégalités qui peuvent traverser toute l’existence d’une femme ou d’un homme, Pont-Sainte-Maxence, dans le cadre de la politique de la ville, a déployé une plateforme de réussite éducative.

Ce programme s’adresse à des enfants ou adolescents de 2 à 16 ans habitants ou scolarisés obligatoirement dans le quartier de « Les Terriers » pour lesquels des difficultés sont repérées : retard scolaire, absentéisme, un niveau scolaire faible, mal être, la santé, l’accès aux soins, l’accès aux loisirs éducatifs, le développement de la parentalité, rapports conflictuels…Toute une équipe dédiée de spécialistes se met alors en branle et accompagne la famille et l’enfant pour leur redonner les meilleures chances possibles.

Plus de 130 enfants ont bénéficié de cet accompagnement pour des résultats positifs salués de tous.

Son objectif est simple : offrir une vitrine des aides et un espace de dialogue intergénérationnel avec les habitants.

Pour sa troisième édition, il a compté une vingtaine d’intervenants, capables de vous accompagner dans les tâches de la vie quotidienne, autour de conférences telles que « être aidant d’une personne atteinte de la maladie d’Alzheimer » et a enregistré plusieurs centaines de visiteurs.

L’épicerie solidaire, en lien avec l’association entraide Samu social, permet d’accueillir des publics bénéficiaires orientés par le CCAS, sous critère de minima sociaux, permettant d’avoir accès à des produits alimentaires et d’hygiène moyennant une participation financière. La gratuité ne responsabilise pas…nous avons donc fait le pari que chacun contribue un peu à ses besoins…c’est aussi un signe de dignité retrouvée.

Une femme meurt tous les 3 jours sous les coups de son compagnon ou de son ex-compagnon en France. Particulièrement sensible à cette problématique infernale, notre ville a décidé d’offrir un espace de protection et de renouveau à ces femmes, toutes au profil très différent. En partenariat avec l’association Entr’aide Samu Social Oise, et le soutien financier de l’État et de la Région Hauts-de-France, la ville a donc ouvert, dans un logement communal entièrement rénové, un foyer qui permet d’accueillir jusque 13 femmes avec leurs enfants.

Ce dispositif d’hébergement d’urgence fonctionne 7/7 et 24/24heures 

A noter que le maire fête chaque année Noël parmi elles.

Les nouvelles technologies au service de l’humain, c’est possible et ça marche vraiment ! Symbole même de l’économie sociale et solidaire, Bip/Pop est une application digitale qui propose un service à destination des personnes empêchées afin de les aider dans leur quotidien (déplacements pour faire des courses, rendez-vous médical, accompagnement pour une promenade). Avant son transfert à la communauté des communes (afin d’élargir son audience face au succès rencontré sur notre ville), près de 60 personnes en bénéficiaient sur Pont-Sainte-Maxence.

Le conseil local de santé mentale est une coordination entre les élus, la psychiatrie, les représentants des usagers, les aidants et l’ensemble des professionnels du territoire.

Il a pour objectif de définir et mettre en œuvre des politiques locales et des actions permettant l’amélioration de la santé mentale des personnes fragilisées.

Avouons-le…ce fut une scène mémorable que de découvrir en 2014, ce à quoi ressemblait le colis qui était offert aux personnes âgées… L’emballage ne ressemblait à rien et les produits étaient plus que de première nécessité… « Changez-moi tout cela ! » me suis-je alors écrié ! Et ce fut fait…et de quelle manière ! Maintenant, c’est un beau sac (que nous retrouvons même dans les allées des grandes surfaces, dans nos commerces de centre-ville) qui contient des produits de qualité, choisis à la suite d’un sondage réalisé auprès des personnes âgées.

Ce sont près de 1 100 colis qui sont distribués par an. Mais ce n’est pas la seule chose que nous avons améliorée ! Nous avons aussi augmenté le don de fin d’année en le passant pour une personne seule de 130 euros en 2014 à 150 euros en 2019 et pour un couple de 150 euros à 200 euros. Près de 59 personnes bénéficient de ce geste généreux (2013 42 dons).

Les locaux que nous connaissions, rue Fratras, ne répondaient à aucune norme, notamment d’accessibilité avec des pièces exiguës, des coins et des recoins partout et des escaliers étriqués et raides. Nous voulions offrir à nos administrés et à nos agents les meilleures conditions d’accueil pour les uns et de travail pour les autres. C’est maintenant chose faite, puisque que le CCAS a été installé, après une superbe rénovation faite par les services de la ville en grande partie, au rez-de-chaussée de la résidence des personnes âgées.

Avouons-le…ce fut une scène mémorable que de découvrir en 2014, ce à quoi ressemblait le colis qui était offert aux personnes âgées… L’emballage ne ressemblait à rien et les produits étaient plus que de première nécessité… « Changez-moi tout cela ! » me suis-je alors écrié ! Et ce fut fait…et de quelle manière ! Maintenant, c’est un beau sac (que nous retrouvons même dans les allées des grandes surfaces, dans nos commerces de centre-ville) qui contient des produits de qualité, choisis à la suite d’un sondage réalisé auprès des personnes âgées.

Ce sont près de 1 100 colis qaLa disparition inévitable du camping en raison de la mauvaise gestion par son propriétaire a suscité en nous une grande émotion et une vive inquiétude et nous a conduit à réagir rapidement et efficacement. Dès les premiers signes, la ville, en lien avec les services de l’État, s’est mobilisée intensément pour trouver des solutions de relogement pour les 33 personnes qui y étaient locataires ou propriétaires (ce qui complexifiait encore la situation !).

La collaboration de tous a permis de reloger, à la date de la rédaction de ce bilan (fin décembre), 29 personnes.ui sont distribués par an. Mais ce n’est pas la seule chose que nous avons améliorée ! Nous avons aussi augmenté le don de fin d’année en le passant pour une personne seule de 130 euros en 2014 à 150 euros en 2019 et pour un couple de 150 euros à 200 euros. Près de 59 personnes bénéficient de ce geste généreux (2013 42 dons).

Construite en 1981, notre résidence, bâtiment emblématique de la ville, à proximité du quartier de la gare, nécessitait d’importants travaux afin d’améliorer le quotidien de ses résidents. Il existait en effet une marche pour accéder à la douche qui devient avec l’âge un obstacle de plus en plus dangereux, et il n’y a souvent qu’une prise par pièce…

La ville a ainsi procédé à la rénovation des salles de bains et à la mise aux normes de l’électricité dans 53 logements (en multipliant les prises notamment pour plus de commodités).

Les coûts des travaux s’élèvent à 580 000 euros.

Notre crédo est simple : l’argent des Maxipontains doit bénéficier aux Maxipontains, non aux habitants des autres villes. En 2014, quelle ne fut donc pas notre très désagréable surprise que d’apprendre que l’argent du contribuable était distribué sans que l’on sache à qui il allait…et donc, il allait à tout le monde, évaporé pour des personnes qui n’habitaient pas notre ville mais que l’on voyait débarquer de la gare. L’époque où votre argent allait à des habitants de toute l’Oise est maintenant révolue : nous savons précisément à qui nous donnons, à combien de personnes de Pont-Sainte-Maxence nous donnons, tout simplement parce que nous donnons un forfait par bénéficiaire de notre ville…la générosité a un coût : c’est votre argent et il mérite toute la rigueur !

1 874 ! C’est le nombre affolant de personnes reçues en permanence par Monique MARTIN (sans compter les permanences du maire pour les demandes du même ordre) concernant le logement social…Un chiffre qui traduit la tension permanente et croissante à laquelle nous sommes soumis et que nous ne parviendrons pas à inverser tout seuls en raison de la politique menée par le Gouvernement contre les bailleurs…Ce chiffre est à mettre en perspective avec les 20 000 demandeurs que compte notre département et les 2 100 000 demandeurs en France.