Préparer les citoyens de demain ! Quelle superbe et ardente mission confiée à l’école…Mais la République ne s’apprend pas que dans les livres, si intéressants soient-ils…La République, ce sont des femmes et des hommes, ce sont des lieux aussi. Pour que la République devienne très concrète pour nos enfants, nous avons mis en place des rencontres avec le maire pour toutes les classes de CM2 des écoles publiques et privées sous contrat. C’est ainsi que j’ai reçu à partir de 2016 en mairie les élèves afin de leur exposer la fonction de maire, répondant à toutes leurs questions. Puis nous passions dans mon bureau pour les photographier portant mon écharpe devant les drapeaux français et européen (une photographie qui leur était ensuite envoyée) avant de finir par un goûter bio. De la même manière, je les recevais à l’hôtel du département, à Beauvais, d’abord dans l’hémicycle, puis autour d’une collation bien méritée pour tous avant qu’ils ne visitent le lieu et notamment le grand parc. Il nous semblait en effet important que nos enfants connaissent d’abord leur environnement institutionnel le plus proche. Mais il nous semblait tout aussi important que nos enfants découvrent les hauts lieux de la République, et c’est la raison pour laquelle nous leur avons permis de visiter la présidence de la République, l’Assemblée nationale et le Sénat. Au total, depuis la mise en œuvre de ces rencontres et visites citoyennes, ce sont près de 750 enfants qui ont été bénéficié de cette initiative.

La ville a décidé de mettre en place un fond dédié aux appels à projets proposés par les écoles. Très concrètement, une classe souhaite faire une sortie, elle a besoin de moyens, notamment financiers, elle peut solliciter la mairie pour sa concrétisation. L’école élémentaire Fabre d’Églantine a pu ainsi réaliser un projet pédagogique sur l’usage du vélo (en lien avec l’association AU5V) ou se rendre au musée départemental de l’Oise (Mudo) grâce au soutien de la municipalité. L’école élémentaire Jean Rostand a pu développer des activités péri-éducatives à caractère scientifique grâce au financement de son matériel par la ville. L’école maternelle Max Drains et l’école élémentaire Ferdinand Buisson ont pu se rendre au parc Jean-Jacques Rousseau (Ermenonville) pour assister à des « classes philo » adaptées, bien sûr, aux élèves. Les élèves des écoles élémentaires Robert Desnos et Jean Rostand ont, pour leur part, travailler toute une année sur un projet aéronautique (en partenariat avec l’association « Amour d’enfants »).

La question de l’urgence climatique et la préservation de notre terre doivent s’apprendre dès le plus jeune âge. Notre jeunesse (et parfois mêmes les plus jeunes) est assurément la plus sensibilisée à ces enjeux qui sont tout simplement déterminants pour notre avenir. Nous avons mis en place, et avec quel succès, un grand nombre d’actions qui visent à apprendre à nos enfants à respecter la terre. Ainsi, nous avons installé 5 ruches sur un terrain communal afin que nos enfants comprennent le rôle essentiel que jouent les abeilles pour notre propre « écosystème ». Nous avons mis en place le compostage des denrées alimentaires issues de nos cantines afin que le compost soit réutilisé comme engrais dans les espaces verts de la ville. Nous avons créé, à côté de l’école élémentaire Jules Ferry, un verger pour que nos enfants puissent cueillir des fruits issus de l’agriculture biologique et pour qu’ils puissent comprendre le cycle de la vie depuis la fleur jusqu’au fruit.

Il existe un âge charnière qui se situe entre le CM2 et la 6ème…tout simplement parce que les repères se brouillent…L’enfant, qui était un « grand » dans son école élémentaire se retrouve un « petit » dans un collège…Le même qui avait autrefois un (ou une) professeur se retrouve en face de plusieurs professeurs…Cet âge charnière peut constituer une véritable rupture pour les enfants qui peuvent alors devenir plus fragiles, plus influençables, et la violence peut alors happer l’enfant aussi bien en tant que victimes ou auteurs. Afin de les sensibiliser, nous avons créé avec de très nombreux partenaires (la gendarmerie nationale, le conseil départemental, la communauté des communes des pays d’Oise et d’Halatte, etc.) un forum pour expliquer à nos enfants tous les risques, toutes les tentations auxquels ils peuvent être soumis depuis le cyber harcèlement jusqu’à l’usage de stupéfiants. Ce forum, qui se tient sur deux jours, accueille tous les élèves des classes de CM2 des écoles élémentaires publiques et privées et toutes les classes de 6ème des collèges publics et privés soit, en 2019 : 325 enfants.

Tout le monde, loin s’en faut, n’a pas des parents, ou un grand frère ou une grande sœur capable de vous aider le soir, pour faire ses devoirs. Ce besoin est apparu très rapidement. Aussi, la ville a mis en place, grâce aux professeurs des écoles, « l’aide aux devoirs » intégralement financée par le budget de la ville. A raison de deux fois par semaine, pendant les 36 semaines de classe, 14 professeurs des écoles, après les cours, animent du « soutien scolaire », soit en reprenant la leçon du jour avec leurs propres élèves, soit en découvrant une autre leçon avec des élèves d’une autre classe (mais de la même école). C’est le meilleur moyen que nous avons trouvé pour donner à chacun les mêmes chances de réussite, et cela fonctionne non seulement sur les résultats des enfants concernés mais aussi sur leur comportement.

« Quand on partait de bon matin, quand on partait sur les chemins…A bicyclette ! » Voilà ce que pourraient chanter nos élèves. Non seulement, la police municipale intervient dans chaque école pour faire passer à nos enfants les permis « piétons » et « vélos » mais en plus, la ville, grâce à l’association « Amour d’enfants » a pu équiper ses écoles de près de 40 vélos. En effet, nous constatons trop souvent, lors du passage du permis « vélo » que nos enfants ne savent pas en faire ou pas bien en faire car ils n’en ont pas. Pour combler cette lacune, la ville a donc équipé ses écoles de vélos parfaitement neufs pour que les enfants puissent s’y exercer.

Ce fut l’un des chantiers les plus importants menés en un temps record. Il s’agissait pour nous de donner à nos enfants, dans le cadre de leur scolarité, tous les moyens de réussite en dotant les écoles de matériels informatiques. A l’heure où le monde évolue à la vitesse « grand v », nos enfants doivent disposer de tous les outils pour mettre toutes les chances de leurs côtés. Ainsi, chaque classe de toutes les écoles élémentaires a bénéficié d’un vidéo projecteur, d’un tableau numérique interactif, de 15 tablettes tactiles et d’un ordinateur avec NAS. Chaque classe de toutes les écoles maternelles bénéficie d’un ligthouse (tapis numérique), d’un tableau numérique interactif et d’ordinateurs avec imprimantes. Ce matériel rend la pédagogique plus créative plus ludique sans rien altérer à la qualité de l’enseignement et cet effort a fait de notre ville une des toutes premières villes de l’Oise pour l’informatisation de ses écoles.

Ce sont les professeurs des écoles qui, les premiers, ont exprimé ce besoin. Le constat qu’ils faisaient était accablant : trop d’enfants venaient en classe sans rien avoir petit déjeuné ou en ayant emporté un paquet de chips et une boisson énergisante. Ils se sont alors tournés vers nous en nous demandant ce que nous pouvions faire. En l’espace de 3 mois, en lien avec l’Éducation nationale, en nous adjoignant les services d’une diététicienne pour l’élaboration des produits, nous avons été capables de proposer à nos enfants des petits déjeuners équilibrés. La règle est simple : ou l’enfant n’a pas petit déjeuné, et alors il peut bénéficier de celui que nous avons mis en place, ou l’enfant a déjà petit déjeuné, et alors il ne peut pas en bénéficier afin d’éviter les excès. Beaucoup de raisons peuvent expliquer qu’un enfant ne prenne pas de petits déjeuners, tels que la qualité de son sommeil, son rythme biologique au réveil, l’absence des parents, etc. Le critère social n’explique pas tout contrairement à l’idée répandue par certains qui ignorent les causes réelles et complexes de cette question et qui ont cherché à alimenter une polémique indigne. Cette expérimentation a d’ailleurs été saluée par le Gouvernement puisque le ministre de l’Éducation nationale, Jean-Michel BLANQUER, s’est rendu le 23 avril 2019 dans notre ville pour expliquer, qu’au regard du succès rencontré, il reprenait à son compte dans un vaste plan gouvernemental notre démarche. Le constat qui a été fait par le corps enseignant est que les enfants sont moins fatigués, plus disciplinés, plus attentifs et que le climat dans l’école s’est amélioré. Nous l’avons ainsi déployé dans toutes les écoles (Jacques Prévert, Maire Curie, Jean Rostand, Jules Ferry) où les professeurs des écoles en ont fait la demande et selon le rythme qu’ils ont eux-mêmes défini. Pour renforcer notre combat en faveur d’une alimentation plus saine, la ville a aussi déployé avec l’association « Échange pour une terre solidaire » la distribution de pomme bio.

Le handicap ne devrait jamais empêcher un enfant de suivre la même scolarité que ses camarades. Exactement de la même manière qu’eux, il doit pouvoir y accéder et s’y déplacer. C’est la raison pour laquelle la ville a entrepris tous les travaux nécessaires pour une mise en accessibilité totale de ses écoles. Ainsi, des rampes d’accès aux écoles ont été maçonnées, des toilettes aux normes « handicapé », des portes plus larges ont été réalisées pour permettre le passage de fauteuil.

La sécurité a été, reste et restera toujours notre priorité absolue (voir la partie consacrée). Cette sécurité s’applique aussi aux établissements qui sont sous notre responsabilité. Par conséquent, nous avons installé dans toutes nos écoles un dispositif d’alarme anti-intrusion qui permet aux professeurs des écoles d’informer, en enclenchant une télécommande, dans les meilleurs délais la patrouille de la police municipale la plus proche afin qu’elle se rende immédiatement sur les lieux.

C’est le concours qui mobilise toutes les écoles publiques et privées de notre ville. Si les consignes sont strictes (il faut représenter un personnage, un lieu ou un bâtiment de la ville, et faire figurer un symbole de la République française), l’imagination est libre comme en attestent les centaines de cartes de vœux que le jury reçoit et dans lesquelles il doit choisir. Célya de l’école élémentaire Adrien Bonnel fut la première lauréate en 2019, Liam de l’école privée sous contrat Sainte-Marie lui succède pour 2020. Grâce à chacun, leur école respective reçoit un don pour du matériel pédagogique.

Voilà une injustice absolue que nous avons découverte et à laquelle nous avons mis heureusement fin. Les enfants de l’école privée sous contrat de Sainte-Marie n’avaient pas accès aux équipements municipaux tels que le gymnase ou la bibliothèque ? Au nom de quoi ? Attachés plus que tous à ce que l’école de la République soit l’école de tous les enfants de la République, nous avons donc rétabli l’égalité en permettant dorénavant à ces enfants de profiter de la bibliothèque et du gymnase. De la même manière, le maire reçoit désormais, chaque fin d’année scolaire, lors du pot en hommage aux corps enseignants, à la fois les professeurs des écoles publiques et les enseignants de l’école privée sous contrat. Enfin, tout comme je reçois les enfants des écoles publiques en mairie et au conseil départemental, je reçois les enfants de l’école privée sous contrat en mairie et au conseil départemental. Et cela vaut aussi pour les visites à l’Assemblée nationale et au Sénat. Considérer chacun avec la même dignité, sans discrimination, plus encore ceux qui donnent tant à nos enfants correspond davantage à nos valeurs que le mépris ou l’exclusion avec lesquels ils étaient traités jusqu’alors.

Rien de tel que de faire vivre le lien au-delà des âges…Les personnes âgées ont tant à nous apprendre, et les enfants ont tant à donner…Nous avons donc établi des rencontres qui ont permis aux enfants de l’école Jules Ferry et aux seniors de la résidence pour personnes âgées de se retrouver et d’échanger sur leur parcours de vie, sur leurs attentes, sur leurs espérances que ce soit au sein de l’école ou au sein de la résidence, ou encore aux enfants de l’école maternelle Marie Curie d’organiser leur carnaval à la résidence, et enfin nous avons organisé un spectacle musical qui s’est tenu à la Manekine avec comme artistes les séniors de la résidence des personnes âgées et les élèves de l’école élémentaire Fabre d’Églantine.

Hélas, nous n’avons pas tous les mêmes chances et ces inégalités apparaissent parfois dès le plus jeune âge.

Pour corriger ces inégalités qui peuvent traverser toute l’existence d’une femme ou d’un homme, Pont-Sainte-Maxence, dans le cadre de la politique de la ville, a déployé une plateforme de réussite éducative.

Ce programme s’adresse à des enfants ou adolescents de 2 à 16 ans habitants ou scolarisés obligatoirement dans le quartier de « Les Terriers » pour lesquels des difficultés sont repérées : retard scolaire, absentéisme, un niveau scolaire faible, mal être, la santé, l’accès aux soins, l’accès aux loisirs éducatifs, le développement de la parentalité, rapports conflictuels…Toute une équipe dédiée de spécialistes se met alors en branle et accompagne la famille et l’enfant pour leur redonner les meilleures chances possibles.

Plus de 130 enfants ont bénéficié de cet accompagnement pour des résultats positifs salués de tous. Ainsi, 87 enfants ont été pris en charge en 2017, 91en 2018 et 95 en 2019.

Chacun connaît les bienfaits du sport pour nos enfants qui permet développement des capacités motrices et la pratique d’activités physiques, sportives et artistiques. Elle contribue à l’éducation à la santé en permettant aux élèves de mieux connaître leur corps, et à l’éducation à la sécurité, par des prises de risques contrôlées. Elle éduque à la responsabilité et à l’autonomie, en faisant accéder les élèves à des valeurs morales et sociales, telles que le respect de règles, le respect de soi-même et d’autrui. La municipalité a ainsi mis à disposition des six écoles primaires de ses éducateurs sportifs pour favoriser la pratique du sport. Ce service, gratuit pour nos écoles, a été particulièrement apprécié par les enseignants qui ne sont eux-mêmes pas toujours spécialistes de la discipline.

La relaxation à l’école est une méthode adaptée aux besoins de l’enfant, permettant à chacun de retrouver le calme, la détente, une perception plus juste de soi-même et de son environnement.

En effet le rythme scolaire imposé aux enfants peut être difficile. Il doit ainsi s’adapter au rythme qu’on lui impose mais il doit surtout s’adapter par rapport à ce qu’il vit dans son milieu familial. C’est pourquoi il est nécessaire de faire des pauses régulières dans la journée scolaire pour remédier aux multiples « coups de mou » des enfants. En classe, il est intéressant de varier les méthodes de relaxation, de varier les situations pour que les enfants ne se lassent pas. De petits jeux, des comptines permettent aussi de se relaxer, de retrouver le calme et ainsi de faciliter les apprentissages. C’est ce que nous avons mis en place avec une relaxologue professionnelle de Pont-Sainte-Maxence dans les écoles publiques élémentaires Robert Desnos et Ferdinand Buisson.

Une Nation se vit autour de moments forts que sont les cérémonies patriotiques. Toutefois, celles-ci ne doivent pas rassembler que les anciens combattants. Elles doivent en effet associer le plus largement possible la population, et notamment les jeunes générations pour que se transmette le devoir de mémoire. Cela nous semble s’intégrer parfaitement dans le parcours citoyen. Ainsi, notre volonté a été forte et constante de faire participer activement les enfants et adolescents des écoles et du collège avec leurs parents aux cérémonies patriotiques : participation aux défilés, chants, lecture de textes, saynètes et réalisation d’un disque avec des chansons patriotiques créées par les collégiens, etc.
Le point d’orgue fut naturellement le 11 novembre 1918 qui marquait le centenaire de l’Armistice de la Grande guerre auquel toutes les écoles élémentaires et le collège Lucie et Raymond Aubrac ont participé.

Bien avant que la loi ne le décide en 2019, nous avions installé les drapeaux de la France et de l’Union européenne et la devise de la République française dans nos écoles. C’est en effet dès le plus jeune âge que l’appartenance à une seule et même Nation doit se vivre. La République française reconnait tous les enfants comme ses enfants, sans aucune distinction. Mais il nous revient de faire vivre ce lien, cet attachement et c’est ce que nous avons fait en affichant ostensiblement les symboles de notre grand et beau pays, la France.

Dans la lignée de nos actions en faveur des petits déjeuners, de la distribution de pommes bio et de lait, un soin particulier a aussi été porté à la qualité des repas de cantine. Ainsi, plus de deux ans avant que la loi (2021) ne l’oblige pour toutes les communes, nous avons introduit dans nos repas comme aliments un élément bio chaque jour, un menu végétarien chaque semaine et tout cela sans aucune augmentation du prix du repas….

Par ailleurs, nous avons développé sur notre site Internet un portail destiné aux familles. Un dispositif qui permet, pour l'ensemble des écoles maternelles et élémentaires publiques (1 300 élèves), de réserver et de payer en ligne les repas de la cantine en ligne. Le portail famille permettra également aux parents de prendre connaissance des menus proposés aux enfants. Il sera toujours possible de procéder au règlement de la restauration scolaire au guichet en mairie, pour les familles qui préfèrent continuer à utiliser cette solution de paiement.

D’ailleurs, pour s’assurer de la qualité nutritionnelle des produits, le maire et l’adjoint en charge des affaires scolaires déjeunent environ toutes les 6 semaines dans une cantine des écoles.

Enfin, en cas d’ambiance un peu animée sur le temps de cantine, l’adjoint en charge des affaires scolaires est systématiquement présent et aussi longtemps qu’il le faut pour que les esprits soient de nouveaux apaisés.

C’est une problématique qui revenait souvent, et de façon très épidermique lors des conseils d’école : la mise en sécurité devant nos écoles.

De lourds travaux de voirie furent ainsi engagés pour répondre au mieux aux attentes des parents et des enseignants, sachant que le comportement individuel est souvent (toujours ?) le facteur numéro 1.

Ainsi, aux abords de l’école élémentaire Jules Ferry, nous avons installé un plateau surélevé au croisement des rues Poidevin et Chancelier Guérin et un plateau surélevé au croisement des rues Léon Bourgeois et Garnier pour casser les vitesses des automobilistes. Nous avons recalibré la rue Léon Gambetta devant l’école élémentaire Jules Ferry et installé tout le long des poteaux pour empêcher le stationnement sauvage et protéger la sortie des enfants.

Aux abords de l’école maternelle Françoise Dolto, nous avons réalisé un plateau surélevé pour lutter contre les vitesses, et réalisé une voie de bus et un quai pour permettre à nos enfants de monter et descendre en toute sécurité.

Aux abords de l’école élémentaire Adrien Bonnel, nous avons réalisé un plateau surélevé pour lutter contre les vitesses, et sécuriser par des poteaux tout le cheminement piétonnier de nos enfants depuis la sortie de l’école jusque l’entrée en cantine.

Aux abords de l’école élémentaire Jean Rostand, nous avons réalisé un plateau surélevé pour lutter contre les vitesses et installé des poteaux pour réaliser une véritable aire sécurisée d’attente pour les parents.

Aux abords de l’école élémentaire Ferdinand Buisson, nous avons réalisé un plateau surélevé pour lutter contre les vitesses.

Aux abords de l’école Sainte-Marie, nous fermons l’accès à la rue Charbonnier, à chaque sortie des classes de 16h00 à 16h30 pour éviter tout accident qui serait dramatique pour la vie humaine.